GALIPEAU, Paul - par William Bak
Cher monsieur Paul,
Nous avons tous quelqu’un de spécial dans nos vie, quelqu’un qu’on dit de la famille. Ce poème s’adresse à lui et j’aimerai qu’il le lise, malgré qu'il n’est plus là. J’aimerai lui dire merci, merci pour avoir donner, acheter, aimer et même travailler. Paul, vous n'étiez pas seulement rigolo, mais aussi très habile pour réparer la maison.
Ce fut un honneur de vous connaître et merci encore d'avoir fait sourire mon père. La plupart du temps quand je vois le sourire de mon père, c’est souvent grâce à vous. Vous m’avez appris le mot tabarnac et merci d’encourager mon père d'être lui-même.
En effet, Paul nous poussait aussi à faire des grandes choses, comme de se présenter comme maire de la ville! Ça, c'était plus à mon père qu'il s'adressait. Mon père partageait une grande amitié avec lui, des billets de loterie à partager aux constructions dans notre manoir.
Mon père a écris 100 livres, je suis sûr que s’il n’avait pas eu vos encouragements et votre amitié, il aurait pas pu écrire autant. Pendant que vous travailliez sur la maison, lui avait le temps d'écrire! Et, juste pour vous dire, ce n'est pas n’importe qui, qui peut donner ce courage et ce genre de support.
Quand Paul est tombé malade, on lui a acheté des billets de gagnant à vie. C'était l'idée de mon père. J'étais très confus, je me disais que ce n'était pas le bon moment, mais quand j'ai enfin compris le message, j'ai été très touché: s’il gagnerait, il devra guérir et vivre longtemps!
En fin de compte, Paul est parti pour l'autre monde. Si seulement vous l'aviez connu, vous pleureriez comme moi. Prenez le temps avec vos plus proches car on ne sait jamais quand ce sera le dernier moment.
À chaque fois que je regarde une lumière au plafond dans notre manoir, ou que je vais chez Harveys avec mon père, je vais toujours penser à vous. Je suis fier de dire que vous êtes fort !!! Vous êtes une bonne personne!
Même si on n'a pas parlé très souvent ensemble, je vous aime de tout mon cœur. Je sais que vous aller manquer à beaucoup de gens.
Paul, vous allez beaucoup me manquer. Il y aura toujours une place dans mon coeur pour vous. On se reverra, un jour, au paradis.
Au revoir Paul.
De votre ami, William Bak.
Paul Galipeau,
Nous avons tousse quelqu’un de spécial dans nos vie, quelqu’un qu’on dit de la famille. Ce poème s’adresse à lui et j’aimerai qu’il le lise, malgré qu'il n’est plus là.